L’assurance pour animaux Assur O’Poil veut faciliter l’accès aux soins vétérinaires en modifient ses garanties
Avec une population d’environ 17,8 millions de chats et de chiens en France, un foyer français sur deux possède un animal de compagnie. Dans ce contexte, Assur O’Poil, l’assurance pour animaux qui couvre les frais de santé des chats et des chiens, s’évertue d’alléger les dépenses des propriétaires tout en leur facilitant l’accès aux soins vétérinaires.
Leader sur le marché de l’assurance chiens et chats, Assur O ’Poil, l’assurance pour animaux s’emploie à choyer et satisfaire ses adhérents et futurs adhérents en leur offrant une écoute attentive et un service de qualité. C’est pourquoi, Assur O’Poil améliore toujours ses offres de couverture santé. Aujourd’hui, l’assurance pour animaux apporte deux changements majeurs :
Une réduction significative du délai de carence de 60 à 45 jours
Le délai de carence à la souscription constitue une période durant laquelle les frais médicaux liés à une pathologie ne sont pas encore remboursés et seuls les frais inhérents à un accident sont couverts. Cette période de latence, est une protection récurrente dans le monde de l’assurance.
Toutefois, dans un effort de satisfaction de ses adhérents et futurs adhérents, Assur O’Poil avait déjà réduit le délai de carence en début d’année, passant de 90 jours à 60 jours. Aujourd’hui, ce délai passe à 45 jours.
En décidant de raccourcir ce délai, Assur O’Poil accélère par la même occasion la prise en charge des maladies de nos chiens et nos chats. En ce qui concerne l’accident, son délai de de carence est toujours de 0 jour.
Une hausse des plafonds de remboursements
Après une étude des dépenses moyennes de santé de nos protégés à quatre pattes, il s’est avéré qu’une hausse des plafonds assurerait une couverture plus confortable et rassurante pour la gestion des frais vétérinaires annuels par foyer.
Dorénavant, Assur O’Poil, l’assurance des chats et des chiens proposera des plafonds de remboursements annuels de 1 300€, 1 800€ et 2 500 €, au lieu des 1 200 €, 1 700€ et 2 500€ pratiqués précédemment, soit, une augmentation de 100 € pour les deux premiers plafonds.
